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Customisez-moi 2017, silhouette de Thomas Portier, photo: Sho Kosughi
Customisez-moi 2017, silhouette de Thomas Portier, photo: Sho Kosughi
Customisez-moi 2017, silhouette de Thomas Portier, photo: Sho Kosughi
Customisez-moi 2017, silhouette de Thomas Portier, photo: Sho Kosughi
Customisez-moi 2017, silhouette de Thomas Portier, photo: Sho Kosughi

Customisez-Moi
Le Palmarès

Julie Nysten -

Ce samedi soir, avait lieu la 11ème édition du show concours Customisez-moi où les candidats créent des silhouettes à partir de vêtements vintage. Cette année, 7 candidats ont fait défiler 6 silhouettes sur le catwalk de l’Hôtel Bloom, partenaire de l’événement.

Le jury

Pour désigner le gagnant, Bernard Gavilan constitue un jury de professionnels de la mode, journalistes et créateurs.

Cette année, Bazar participe, représenté par Julie Nysten.

Aux cotés d’autres media, créateurs et marques comme Elisabeth Clauss (ELLE Belgique), Anne-Françoise Moyson (Weekend le Vif), Natalie Helsen (De Morgen Magazine), Carolien Swinnen (ELLE België), Véronique Branquinho (créatrice), Johnny Coca (Mulberry), Adrien Gras (Weekend le Vif), Didier Vervaeren, Marguerite Durant (Marie Claire Belgique), Andrea Klarin (photographe) et Nica Broucke.

Les prix

Plusieurs prix sont remportés par le gagnant, pour lui ouvrir la voie fashion.

Prix de la ville de Bruxelles : 1000 € pour une aide à la réalisation de travaux de couture, Prix MAD : 1000 € pour la réalisation d’un lookbook, Prix Hôtel Bloom : 2 jours et 1 nuit pour réaliser un shooting dans les murs de l’hôtel, Prix Fabrique 22A: location de studio pour 1 journée de shooting professionnel.

Le lauréat

Après une brève rencontre avec chaque créateur en backstage, le jury a découvert les pièces en mouvement sur le catwalk. Cette année, il a décidé de récompenser la créativité et l’humour de Thomas Portier.

Le jury a particulièrement apprécié la dimension moderne et contemporaine de sa collection. Celle-ci avait comme point de départ des peurs ou phobies mises en lumière et en tissus. Pour accentuer son propos, il décide même de défiler sans musique. Ainsi, la défense par les vêtements revêt un tout autre style, la sécurité et les print d’avertissements deviennent patch stylés. Sur d’autres pièces, comme une veste oversize, il écrit des paroles de chansons de hip hop, façon tag urbain, un soupçon agressif.